Accueil médiocre. Cliente venue plusieurs fois pour acheter des livres, je me suis vue refusée un pauvre emballage cadeau pour un livre acheté ici alors que la boutique était vide. La dame de l’accueil a appelé un responsable pour préciser que les paquets cadeaux étaient proscrits car je n’avais pas gardé le ticket de caisse. Quelle mesquinerie! Ombres blanches est une librairie de qualité avec un personnel aux petits soins et compréhensif qui n’aurait certainement pas agit de la sorte.

Toujours un plaisir de venir dans cette librairie , notamment faire un coucou au libraire Julian , j’ai jamais vu quelqu’un aussi passionné par son métier , d’autres dans cette librairie devraient prendre exemple sur lui … je recommande cette librairie pour les conseils de Julian , il m’a redonné le goût de lire , merci ☺️

Privat n’est plus que l’ombre de son aura passée ! Du choix certes, et du personnel, mais ce dernier préfère en majorité rester passif à l’abri de leur comptoir et laisser un seul d’entre eux encaisser et faire les papiers cadeaux, d’où une interminable attente devant l’unique caisse. La Fnac ne peut que s’en réjouir !

Qu'il est agréable de venir chez Privât et d'avoir les conseils avisés et la bienveillance et gentillesse qui se dégage de Julian (il me semble, j espère ne pas écorcher son prénom). Conseil de lecture au top.. (Ce garçon est une pépite en Or) (et j atteste que je ne le connais pas à part un échange de conseil avec lui).. Ça change de ombres blanches ou on a l'impression d'Enquiquiner les libraires (pour ne pas dire autre chose) même si ombres blanche est très cosy (seul reproche à privât se serait d améliorer le coin lecture en un espace plus cosy et feutré) mais maintenant sachant qu il y a Julian chez Privât.. Bé du coup voilà ce sera ici que je ferai mes achats..

J’ai trouvé ce que je voulais. Les 2 dames à la caisse sont très sympathiques. Le monsieur efféminé pas sympa du tout et la dame qui s’occupe du rayon religieux, il faut qu’elle change de métier. Mais bon, j’ai trouvé ce que je voulais, c’est l’essentiel.